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Nombre de messages : 439
 
le 07/05/2014 à 10:53

Bonjour Ssi Ali
Ci-aprĂšs le premier extrait de mon futur roman.

UNGAL (Roman)
AMENZU
Par : Moha Moukhlis
Chapitre I
Vers deux heures du matin, au dĂ©but du mois le plus pluvieux et le plus orageux de l’annĂ©e, septembre, et dans un bruit infernal et assourdissant, le camion Ford amĂ©ricain de couleur rouge, usĂ© par la piste, ahanant, surgit de la nuit tĂ©nĂ©breuse, avec ses phares aveuglant qui slaloment sur la piste comme des fuseaux de lumiĂšre extraterrestres qui siphonnent la route, pousse ses derniers soupirs et s’arrĂȘta net, immobile, sur le bord du chemin qui traverse le village d’Amellaggou. Un Ă©vĂ©nement que la population vit chaque semaine et qui change momentanĂ©ment son quotidien monotone.
Au sein des foyers, le passage du camion fait l’objet de commentaire et de discussions. C’est une occasion qui s’offre Ă  la population pour rĂ©soudre des problĂšmes et subvenir Ă  ses besoins. Le Camion est devenu un personnage vivant autour duquel sont tissĂ©s moult rĂ©cits et histoires. Le prendre pour voyager alimente l’odyssĂ©e locale et les prouesses accomplies par les habitants.
Le camion est la propriĂ©tĂ© d’une famille de Msemrir : Ixatarn, les Grands. Trois frĂšres qui, grĂące Ă  la vente de leur rĂ©colte de pommes, achetĂšrent l’engin durant les annĂ©es soixante. Une famille de braves qui ont contribuĂ© Ă  briser l’isolement de dizaines de communautĂ©s de la vallĂ©e du Gheris, mais aussi des vallĂ©es de Toudgha et de Boumaln n Dadess. Des pionniers au service des leurs. C’est une fa

RĂ©ponse d'Ali Ouidani : Bonjour Moha
La Rubrique Courrier ne permet que d'insérer les textes ne dépassant pas 1000 mots.
Envoie moi toute la 1ere partie en Word, Je l'insérerai dans la rubrique Tissoufra
ouidani@goulmima.com
 
le 05/05/2014 à 12:53

LĂ©gende de Narcisse : une trĂšs belle histoire
C’est l’histoire de ce beau jeune homme qui allait tous les jours contempler sa propre beautĂ© dans l’eau d’un lac. Il Ă©tait fascinĂ© par son image qu’un jour il tomba dans le lac et s’y noya. A l’endroit oĂč il Ă©tait tombĂ©, naquit une fleur qui fut appelĂ©e narcisse.
Autre version : A la mort de Narcisse , les OrĂ©ades, divinitĂ©s des bois, Ă©taient venues au bord de ce lac d’eau douce et l’avaient trouvĂ© transformĂ© en urne de larmes amĂšres. Pourquoi pleures-tu ? demandĂšrent les OrĂ©ades.
-Je pleure pour Narcisse, répondit le lac.
-VoilĂ  qui ne nous Ă©tonne guĂšre, dirent-elles alors. Nous avions beau ĂȘtre toutes constamment Ă  sa poursuite dans les bois, tu Ă©tais le seul Ă  pouvoir contempler de prĂšs sa beautĂ©.
-Narcisse Ă©tait donc beau ? demanda le lac.
-Qui mieux que toi pouvait le savoir ? rĂ©pliquĂšrent les OrĂ©ades surprises. C’était bien sur tes rives, tout de mĂȘme, qu’il se penchait chaque jour !
Le lac resta un moment sans rien dire ; puis : je pleure pour Narcisse, mais je ne m’étais jamais aperçu que Narcisse Ă©tait beau. Je pleure pour Narcisse parce que, chaque fois qu’il se penchait sur mes rives, je pouvais voir, au fond de ses yeux le reflet de ma propre beautĂ©.
N'est-ce pas une belle histoire? Un jour celle d'Isli-Tislit.

RĂ©ponse d'Ali Ouidani : Aw hlidou
Hane aznar adaq idou !
 
le 29/04/2014 à 14:19

La Fitna chez les sunnites.Un observateur note:
Depuis la chute de l'empire ottoman à la fin de la 1Úre Guerre Mondiale, nous avons assisté à la naissance de 2 courants de revanche dans la Sunna qui ne cessent d'oeuvrer pour supplanter l'Islam relativement modéré issu d'un rÚgne ottoman de 4 siÚcles.
- Nous avons l'hérésie du wahabisme née au centre de l'Arabie il y a 3 siÚcles, adoptée par la tribu arriérée des Al Saoud, laquelle a supplanté, avec l'aide de l'Angleterre, la lignée légitime des Hashémites dans les années 20/30 du siÚcle dernier. Cette hérésie enlÚve tout libre arbitre au musulman puisqu'il est obligé de participer aux priÚres publiques, et sa vie et son comportement sont contrÎlés par le pouvoir religieux par le biais d'une puissante "police des moeurs". Un véritable totalitarisme financé par l'Arabie et le Qatar.
- H'assan El Banna, le premier chef de la confrérie islamiste égyptienne "les FrÚres Musulmans", a proféré ces propos fondateurs en 1928, bien avant la création de l'Etat wahabite en Arabie: "l'Islam est dogme et culte, patrie et nationalité, religion et Etat, spiritualité et action, Coran et sabre". C'était tout un programme. Patiente depuis cette date et tissant sa toile dans toute la région, cette Confrérie socio-caritative est devenue aujourd'hui une organisation politique rayonnant dans tous les pays du Moyen Orient. Pour des raisons d'hégémonie, elle entre en conflit avec le wahabisme notamment dans les émirats du Go
 
le 24/04/2014 à 09:37

La nébuleuse intégriste : un péril planétaire

Par : Moha Moukhlis

La culture arabo-intĂ©griste nuit gravement, depuis des siĂšcles, aux progrĂšs dans ses multiples facettes. Ce constat qui peut irriter les adeptes de la pensĂ©e unique (arabiste) ne relĂšve pas de la fiction. Les occidentaux se posent la question pour connaĂźtre leurs erreurs pour pouvoir avancer. Les Arabes ne se posent pas de questions et cherchent le coupable de ce qui leur arrive. Il s’agit, pour eux, d’accuser autrui systĂ©matiquement, particuliĂšrement les amĂ©ricains et les juifs, leurs boucs Ă©missaires, quant ce ne sont pas les Amazighs, les Kurdes, les Coptes...qu’ils accusent d’ĂȘtre les alliĂ©s de l’impĂ©rialisme et du sionisme. Les Arabes prĂ©fĂšrent mourir que d’admettre leurs tords. Pour eux, les hommes ne sont pas Ă©gaux et les musulmans sont au-dessus du reste des hommes. Pour le Hamas, le Hezbollah, Al Qaida et les OulĂ©mas wahhabistes et intĂ©gristes, la vie est moins importante que la haine des juifs. Pour les intĂ©gristes, le reste de l’humanitĂ© est vouĂ© Ă  l’islamisation. Mourir est leur idĂ©al : les martyrs iront au paradis. Disent-ils ! Sinistre !
Dans les pays arabes dominent la misĂšre, car, malgrĂ© le pĂ©trole, les richesses sont entre les mains d’une minoritĂ© de dirigeants tyranniques et corrompus. Les gangs des Al Saoud, Al Jaber et autres Al Nahian. Depuis plus de mille ans, les sunnites dĂ©testent les chiites et inversement. La culture arabo-intĂ©griste apprend Ă  dĂ©tester les autres et juge que l

Réponse d'Ali Ouidani : Ce qui est grave, c'est qu'ils sont arrivés à rallier de nombreux imazighen qui sont devenus plus arabistes que les arabes!
 
le 17/04/2014 à 15:07

Azul fella-k Lhadj Ali,
J'avoue que depuis qlq temps,j'ai pu suivre avec attention les différentes interventions et contributions animant davantage votre site digne d'éloge,dont notamment vos différentes chroniques et les envois du Monsieur Moha OUSTOUH que je salue chaleureusement à l'occasion.Je venais en fait de découvrir par curiosité ce champ magnifique que je voudrais y amener dorénavant ma modeste contribution.

RĂ©ponse d'Ali Ouidani : les colonnes du sites te sont ouvertes
Mrahba
 
le 31/03/2014 à 19:14

Il arrive que certains lecteurs dont j'ignore l'identité me font part d'un décÚs pour que je l'insÚre dans la rubrique nécrologie.
Annoncer le décÚs d'une personne est un acte majeur qui engage ma responsabilité en tant que modérateur du site.
Je demande aux lecteurs qui me font part d'un décÚs par message de me communiquer leur phone; ce qui me permettra de rappeler l'auteur du message pour m'assurer de la véracité de ce qu'il m'annonce.
Merci pour votre compréhension

RĂ©ponse d'Ali Ouidani : On peut Ă©galement me faire part par SMS comme le font Ali Cherouite, Lahcen Guerdou et Hamid Khettouch que je tiens Ă  remercier
 
le 30/03/2014 à 17:26

Monsieur Ouidani, je vous prie d'insérer ce message et, par avance, merci.
Les tolbas, que nous avons fréquentés à Daw Soma3t, le pied du minaret, nous ont appris ceci :" Celui qui ne rend pas grùce aux hommes, ne rend pas grùce à Dieu!". Rendre grùce, c'est avoir un sentiment de gratitude, éprouver de la reconnaissance, dire, de maniÚre familiÚre Merci. Donc dire Merci aux Hommes, c'est aussi, d'aprÚs les tolbats, dire Merci à la puissance divine. Au nom la famille Kouch, je me permets de remercier les hommes et les femmes de Ghriss et d'ailleurs qui ont pris part à sa peine lors du décÚs de Sekkou n'ait Sekkou Kouch. Je tiens à exprimer ma reconnaissance personnelle à : Anzoul sekkou, Raji mouay Larbi, Berri hssain, Meshi Ahmed, Oustouh moha,Nachour haddou.
 
le 26/03/2014 à 14:53

AZUL: tous d'abord je voudrais vous remerciez pour votre

visite qui nous a honnoré vraiment espérant de vous nous revisitez autre fois inchaellah . JE SUIS TELLEMENT FIére et heureuse de rencontrer des cadres et des personnes qui ont reussi dans leur vie comme vous si Alhadj ET J'éspére d'etre comme vous . Merci nadya de sijilmassa

Réponse d'Ali Ouidani : Je ne doute point de votre volonté de vouloir réussir et faire mieux que ce que nous vos ainés avons fait.
c'Ă©tait un vrai plaisir pour moi et merci Ă  tous ceux qui m'ont permis d'Ă©changer avec vous
 
le 25/03/2014 à 19:25

Bonjour monsieur Ouidani.
Salut mon ange!
Brindezingue de douleur! L'homme de soixante ans que nous sommes devient un gamin d'une dizaine d'annĂ©es et dans sa mĂ©moire tournent, depuis le 24/03/ 2014 Ă  11h 25 minutes des images de son 3ami. Ivre de douleur! Le gamin, malade et gringalet, Ă©tendu Ă  Taskiftte, un mois d'Aout, voit son 3ami lui prendre la main et lire des versets de Coran, et avec des paroles douces et harmonieuses, il rassura le gamin et sa mĂšre. Fou de douleur! Le gamin voit son 3ami, un coteau Ă  la main, couper deux grosses pastĂšques en deux et dire au gamin:" La pastĂšque, c'est comme la loterie, il y a de bonnes et de mauvaises; tu prends une moitiĂ© de chaque et moi une moitiĂ© de chaque. Le risque d'avoir une mauvaise est ainsi partagĂ© en deux." DĂ©lirant de douleur! le gamin voit dans la bouverie son ami grimper Ă  mains nues les murs pour dĂ©busquer une couleuvre qui, passant d'un trou Ă  un autre des mĂ»rs en pisĂ©, gobe les Ɠufs dans les nids des moineaux . 3ami ne supportait pas les cries de douleur des moineaux. Schlass de douleur! 3ami Ă©tait un ange, il combattait avec les versets Coraniques les mĂ©chants Djinn et le mauvais sort; ange, il exerçait sur nous une bonne influence et nous protĂ©geait. LĂ  aussi il nous conseille d'oublier la douleur et de dire: "Dieu, nous acceptons Ta volontĂ©! Nous sommes Ă  Dieu et lui, pour nous juger, nous retournerons."Amen.

RĂ©ponse d'Ali Ouidani : Allah Irahmou wi wassa3 3lih
 
le 20/03/2014 à 12:23

Bonjour 3mmi Lhadj,
Dans le cadre du projet POT (partenariat PNUD/MinistÚre de l'intérieur_DAT), l'appel d'offre concernant la mise en place d'une la décharge contrÎlée dans la commune de Frekla a été lancé. J'en profite pour lancer un appel aux responsables des communes de Goulmima ainsi que les acteurs associatifs pour prendre attache avec les responsables du POT et leur proposer de dupliquer l'expérience pour notre localité et exmanier également avec eux une solution pour le traitement des eaux usées éjectées à l'air libre à Brra Nid Brra.
Ces deux fléaux nuisent énormément à la santé publique. Il serait intéressant de profiter de ce projet pour en réduire les effets écologiques néfastes.
 
le 19/03/2014 à 21:23

Ssi Lhaj Ali Bonsoir. Suite à mon appel en date du 8/03/2014 concernant l'adresse ou le téléphone des revendeurs à Rabat du livre de mon grand ami Raji My Larbi (LE MAROC DE MON ENFANCE), certains camarades ont eu la gentillesse de me contacter par téléphone pour me spécifier que cet ouvrage est en vente chez une grande partie des librairies de Rabat, notamment celle limitrophe du Café Ouazani à Agdal (libraire Mr. Brahim). Je tiens à réétérer mes sincÚres remerciements à l'auteur qui a eu l'idée géniale d'exposer une époque spéciale de notre jeunesse. RABAT LE 19/03/2014 Lhaj Haddou Ouhbi
 
le 15/03/2014 à 11:41

Merci à réconfort
A vous qui avez, par une présence, une parole, un geste, une priÚre, témoigné votre sympathie lors de la perte douloureuse de Monsieur Hajj GHECHI Moha.
Nous vous prions de trouver ici l’expression de nos sincùres remerciements.
La famille
 
le 08/03/2014 à 19:11

Je voudrais dire Ă  Karima BAKZAZA que son pĂšre Moha et son oncle Ali, que DIEU ait leur Ăąme, ont laissĂ© de bons souvenirs Ă  Goulmima , leurs enfants peuvent en ĂȘtre fiers. Il en de mĂȘme de tous les enseignants , aussi bien Marocains que Français , qui exerçaient Ă  l'Ă©poque dans notre RĂ©gion. Leur dĂ©nominateur commun : sĂ©rieux , dynamisme, abnĂ©gation et dĂ©vouement .
 
le 08/03/2014 à 10:41

Ssi Lhaj Ali Bonjour,en rĂ©ponse Ă  l'appel lancĂ© par notre grand ami Berri Hsaine, j'ai voulu acheter le livre Ă©galement de notre ami My Larbi ( Le Maroc de Mon Enfance).J'ai tĂ©lĂ©phonĂ© aux Editions Afrique Orient Ă  Casa, une personne m'a demandĂ© de le chercher chez les librairies KALILA WA DIMNA et LIVRE SERVICE Ă  Rabat.J'ai Ă©tĂ© deux fois(pas plus qu'hier) mais Ă  ma grande surprise, ce livre ne leur a pas Ă©tĂ© envoyĂ© par Editions Afrique Orient. C'est pourquoi je souhaiterais que celui qui connait oĂč le trouver Ă  Rabat , nous indique sur le site l'adresse ou le tĂ©lĂ©phone du revendeur. Avec tous mes remerciements d'avance. Lhaj Haddou OUHBI. Rabat le 8/03/2014 Ă  10H30
 
le 05/03/2014 à 07:26

A M. OUIDANI,
Je vous remercie d'avoir bien voulu transmettre mon message et adresse é-mail à mon ancien Professeur, M. THOMAS. Je suis content de savoir qu'il avait fait le choix de résider à Goulmima, ville charmante et authentique s'il en est et voisine de Tinghir, ma chÚre ville et oasis.
Je vous souhaite bon courage dans tout ce que vous faites et surtout de vous occuper du site Goulmima.com.
Je m'occupe moi aussi du site "tinghir.fr de notre Association "GENERATIONS TINGHIR-France" (GTF). Nous serions honorés d'un échange d'infos et de collaboration.

Mohamed ECHAOUI

RĂ©ponse d'Ali Ouidani : Avec plaisir cher ami
 
le 04/03/2014 à 10:53

Merci à notre ami Hssaine BERRI de nous avoir informé de la publication du livre de notre non moins ami My Larbi RAJI. J'espÚre que nous serons nombreux à acquérir cet ouvrage en guise d'encouragement à cette louable initiative. Notre génération y retrouvera avec nostalgie de trÚs bons souvenirs ; les générations plus jeunes auront une image assez fidÚle de notre contrée pendant les années 1950-1960 (derniÚres années du Protectorat et premiÚres années de l'Indépendances ). Bonne lecture à tous dans l'attente d'autres initiatives de ce genre.

RĂ©ponse d'Ali Ouidani : je profite de l'occasion pour inciter les nombreuses bonnes plumes ghrissoise Ă  prendre exemple de My Larbi Raji
Garder le savoir pour soi-mĂȘme n'est plus un savoir !
 
le 03/03/2014 à 08:29

Je suis contente de voir que certaines personnes se rappellent encore de mon pÚre Moha (décédé trÚs jeune, à l'ùge de 53 ans, le 31 juillet 1983 à FÚs) et de mon oncle (Paix à leur ùme). Merci à HSSAINE BERRI d'avoir rectifié le nom de famille ! Les gens l'appellaient souvent Belkziz... Nous avons vécu à Agadir (juste aprÚs le tremblement), puis Rabat et enfin l'étranger pour les enfants. Mon pÚre est passé par Safi puis Marrakech avant Rabat, et enfin FÚs.

RĂ©ponse d'Ali Ouidani : Gamin, je me souviens d'eux en tant que joueurs dans l'Ă©quipe de foot de Goulmima!
Allah irhamhoum
 
le 23/02/2014 à 12:43

Tout d'abord, désolé pour les impossibilités d'accÚs au site ces derniers, jours. Un message de réclamation a été envoyé à l'hébergeur du site.
Ceci Ă©tant dit, je rappelle que trois rubriques sont Ă  la disposition des lecteurs:
- La Rubrique Courrier: pour discuter et échanger. Toutefois les messages insérés dans cette rubrique ne doivent pas dépasser 1000 lettres et chiffres
- La rubrique Quoi de 9 (neuf), pour informer les lecteurs des nouveautés aussi bien à Ghriss qu'ailleurs
- La Rubrique Tissoufra: pour les essais, les Ă©tudes, les contes, les articles de presse etc.
L'animation et la qualité du site ne dépend pas seulement de son modérateur, mais également de ses visiteurs et lecteurs.
 
le 21/02/2014 à 16:51

Juste pour signaler un texte de Moha Oustouh intitulé : "Le nationalisme arabe ou le panarabisme" qui est inséré dans la rubrique Tissoufra de ce site !
 
le 20/02/2014 à 15:48

Chers amis,Bonjour
Je viens d'apprendre ce matin la parution aux Ă©ditions:AFRIQUE ORIENT Ă  Casablanca du livre de M MOULAY LAARBI RAJI,intitule :"LE MAROC DE MON ENFANCE"
La trame de la narration de cet ouvrage est tissée par la nostalgie des temps de l'enfance de l'auteur tels qu'il les a vécus dans les vallées du GHERISS ET DU ZIZ.
J'espÚre que parmi nous seront nombreux ceux qui feront honneur aux rayons de leur bibliothÚque en y insérant une copie de cet ouvrage en guise d'encouragement à la louable initiative de notre ami M'Y LAARBI.BONNE LECTURE .

RĂ©ponse d'Ali Ouidani : Des souvenirs communs en perspective !
Bonne continuation Moulay.
Un extrait du livre "L'éccole du village" m'a été envoyé par Mr Raji avant l'édition du livre. Il est inséré dans la rubrique Tissoufra
 
le 12/02/2014 à 15:45

Commençons par poser la dĂ©finition d'un fonctionnaire. Un fonctionnaire est un homme ou une femme qui occupe en sa qualitĂ© un emploi permanent dans le cadre d'une administration publique. Donc un fonctionnaire est un homme ou une femme sĂ©lectionnĂ©, par voie de concours par exemple, par le peuple pour remplir une fonction. Lors d'une cĂ©rĂ©monie officielle qui marque la solennitĂ© accordĂ©e Ă  un Ă©vĂ©nement, les Hommes d'Etat, par leur culture et les rĂšgles Ă  observer en matiĂšre de biensĂ©ance, sont obligĂ©s d'oublier leur personne, leurs convictions; ils doivent seulement jouer le rĂŽle que le peuple leur a assignĂ©. Refuser de saluer une femme prĂ©fet, ne pas serrer sa main par "convictions religieuses", c'est refuser de saluer un reprĂ©sentant du peuple; c'est, par extension, refuser de saluer le peuple, donc lui manquer de respect. Ce manque de respect au protocole, peut-il aller, par indĂ©licatesse, jusqu'Ă  refuser l'ordre d'aller chercher des enfants du peuple au milieu d'un incendie uniquement parce que l'ordre est donnĂ© par une femme prĂ©fet, et que l'Ă©coute de la voix d'une femme est illicite? C'est commettre un pĂȘcher par la parole? Dans une cĂ©rĂ©monie officielle, comme dans la vie publique d'un homme d'Etat, il n'y a pas de place aux convictions, mĂȘme religieuses, la loi agrĂ©Ă© par le peuple doit occuper tout l'espace. C'est la dĂ©finition mĂȘme de la fonction publique.
 
le 11/02/2014 à 20:30

Merci Ssi haje Ali .
Vraiment j'étais trÚs ému en pleins famille ici comme quoi les voisins et les membres de la famille du défunt s'occupent de tous les frais de funérailles et bien sur le 3ieme jours ce sont les fils du décÚs qui s'occupe du reste des invités.
Merci de bien vouloir sensibiliser tous les habitants de notre jolie oasis (face book)d'Ă©radiquer cette anomalie vu une bonne rĂ©putation dont vous bĂ©nĂ©ficier et sans oublier votre grand cƓur .
Comptons toujours sur votre aimable collaboration.
 
le 09/02/2014 à 12:32

Bonjour Ssi Lhaje Ali.

Juste pour vous rappeler une mauvaise habitudes que j'avais vĂ©cu de puis ma naissance dans ma belle rĂ©gion (Goulmima) dont je suis fier d'ĂȘtre originale pour plusieurs raisons ..
La seule remarque qui m'occupe c'est une fois quelqu'un de notre habitants est dĂ©cĂ©dĂ© sa famille au lieu de pleurer pensent au invitĂ©s l'achats de la viande le pain et c.. Parfois mĂȘme ils sont obligĂ©s d'empreintĂ©s pour satisfaire leurs hĂŽtes alors que ce n’est pas logique ce que j'ai remarquĂ© au niveau la rĂ©gion de Tadla /Azillal les voisins du dĂ©funt font une cotisation et s'occupent du repas et de diner le 1ier jours et chaque familles prĂ©pares un tagine comme ça la famille du dĂ©funt reste sans aucune contrainte ni dĂ©pression et c
. ..

J'espùre de mon cƓur bannir cette mauvaise une fois pour toute par une sensibilisation des habitations de chaque quartier.

Cordialement.

Réponse d'Ali Ouidani : Tu as tout à fait raison et j'ai lancé il y a quelques années un appel pour dire aux lecteurs d'inviter ceux qui leurs sont proches à bannir cette mauvaise habitude. Ceux qui ont perdu un parent ont déjà suffisamment de peine à gérer leur souffrance que s'occuper à préparer les repas pour ceux qui viennent présenter leurs condoléances.
Je vais refaire un appel dans ce sens dans ma page Facebook.
 
le 04/02/2014 à 01:40

Bonjour

Merci M. OUIDANI pour votre réponse.
Voici mon adresse e-mail et j'espĂšre que M. THOMAS "tombe" dessus et me contacter. Si vous pouviez la lui transmettre je vous serai reconnaissant.
Cordialement
Mohamed ECHAOUI

RĂ©ponse d'Ali Ouidani : ca sera fait dĂšs le retour de Mr Thomas
 
le 30/01/2014 à 12:56

M. Ouidani, bonjour, quel plaisir d'avoir de vos nouvelles de temps en tempsgrace Ă  votre site.
Je voulais vous informer que se tiendra à Casablanca le 27.02 à La fondation Ibn Abdelaziz Al Saoud une conférence de Pierre Rahbi, un "écrivain agriculteur biologiste, inventeur du concept "Oasis en tous lieux". Il défend un mode de société plus respectueux de l'homme et de la terre et soutient le développement de pratiques agricoles respectueuses de l'environnement et préservant les ressources naturelles, l'agroécologie, notamment dans les pays arides"

Voici le lien pour s'y inscrire :

Au plaisir de vous retrouver
 
le 30/01/2014 à 12:52


salut Widani, comment vas-tu ?

j(espĂšre que tout va pour le mieux.

une amie qui ne t'oublie pas.

Amal

RĂ©ponse d'Ali Ouidani : Salut Amal,
Je viens de demander Ă  Simone de te transmettre mon bonjour
Alors Ă  quand une visite dans mon oasis ?
 
le 22/01/2014 à 15:34

Bonjour Ă  tous

Je viens sur ce site pour saluer l'esprit amazigh des gens qui s'en occupe, leur sens de solidaritĂ©, un niveau intellectuel qui les honore et parce que je suis le voisin de Tdoght, oasis semblable Ă  celle de Ghris Ă  Goulmima, toutes deux belles oasis mais souffrent des mĂȘmes maux (par ex. prĂ©sence de polluants dĂ©tergents dans les eaux de surface). A tinghir, il y'a belle lurette que le poisson a dĂ©sertĂ© l'assif.
Sujets divers et intéressants que celui, par ex. des zaouias et leur influence, de la mémoire d'anciens enseignants français qui, pour la plupart, aimaient ces contrées du sud-est et avaient transmis la langue du MoliÚre et du Savoir aux enfants de ces régions.
Je ne sais pas si vous pouvez m'aider, mais je l'espĂšre en tout cas.
Voilà: on m'a dit que M. THOMAS, mon ancien professeur au CollÚge du Boumalne Dads des années 1974-1978 vit à Goulmima. J'aurai voulu que vous lui transmettiez mes salutations et me donner une adresse e-mail à lui (bien évidemment avec son accord) pour que je lui écrive.

Merci pour votre aide et votre retour
Cordialement
Mohamed ECHAOUI

Réponse d'Ali Ouidani : Mr Thomas est effectivement devenu Ghrissois, non seulement il consulte le site mais il est pour beaucoup dans sa réalisation. Indiquez votre émail, il ne manquera pas certainement de vous contacter .
 
le 17/01/2014 à 22:14

إيطاليا تبحث عن العمال الاجانب الموسميين




أطلقت وزارة الداخلية الإيطالية مؤخرا "مرسوم التدفقات" الخاص بالعمالة بالأجنبية الموسمية لعام 2014 والذي خصص حصة 5600 للظفر بمنصب عمل بإيطاليا لاسيما في الحقول الزراعية و12250 منصب لتحويل تصاريح الإقامة القصيرة الأمد إ

RĂ©ponse d'Ali Ouidani : Merci pour l'info
 
le 11/01/2014 à 10:43

Bonjour monsieur Ouidani; voilà, j'ai supprimé trois parties de mon texte.
Les mots, les paroles font par moment la beautĂ©, l'intelligence, la grandeur d'un homme:Tirougza. Dire: "Au Maroc, il y a une ethnie pingre", propos d'Abou zid al-Idrissi, c'est tout simplement faire la danse du ventre avec des paroles. C'est mettre un tarbouche sur la tĂȘte, des fanfreluches et des falbalas autour de la taille et, devant des princes du pĂ©trole, faire la danse du ventre. La frivolitĂ© que les marocains affichent quand ils parlent d'eux-mĂȘmes est la dĂ©coration d'un esprit, d'un goĂ»t, d'une saveur certains. Mais quand on manque de goĂ»t, qu'on est ballonnĂ© de soi, enivrĂ© par l'ambiance et un prĂ©tendu savoir, alors on plane au-dessus de l'humain, on se lĂąche et on crie sa vĂ©ritĂ©: Le racisme et l'ethnique qui forment la base de son Ă©ducation. La parole devient alors laideur, mĂ©chancetĂ©. Elle exprime la petitesse d'un homme: Lag3chim . S'encanailler pour de l'argent et ,peut ĂȘtre, pour assurer son Ă©lection ou sa rĂ©Ă©lection, c'est dĂ©voyer l'esprit et l'intelligence de l'humour populaire marocain. Dans ce cas le comique et le caustique peuvent tourner au tragique. Entre un Amazigh Ă  qui la vie, la terre et l'eau ont appris Ă  vivre chichement, modestement et des princes qui paient des milliards de dollars pour voir onze hommes courir derriĂšre un ballon... faites votre choix.
 
le 29/12/2013 à 18:28

Suite:A signaler toutefois que la plupart des rĂ©surgences donnent une eau lourde, non fraiche, ce qui peut s’expliquer par le mĂ©lange avec des eaux chaudes (grottes chaudes prĂšs d’Idelsen et Ă  l’ouest de RhĂ©ris). Commerce : Le souk du RhĂ©ris a toujours Ă©tĂ© bien achalandĂ© et il est trĂšs frĂ©quentĂ©. Les transactions portent principalement sur les cĂ©rĂ©ales importĂ©es du nord par camions, les dattes et les fruits divers, le Takaout, les denrĂ©es indigĂšnes (sucre, thĂ©, cotonnades, etc.., et les animaux de boucherie). (1) sĂ©lectionnĂ© d'un rapport de l’AutoritĂ© locale de contrĂŽle.
 
le 29/12/2013 à 18:25

Suite:Ces palmeraies ont diminuĂ© presque de moitiĂ©. Les autres arbres fruitiers sont nombreux : oliviers (15029), amandiers, pĂȘchers, figuiers, abricotiers, grenadiers et vignes (17205 pieds au total). Une mention spĂ©ciale est Ă  accorder aux tamariniers (8565 pieds) dont la gale dite « Takaout » est d’un grand apport. En gĂ©nĂ©ral tous les indigĂšnes savent soigner leurs arbres d’une façon passable. Mais de gros progrĂšs restent encore Ă  faire sur cette matiĂšre, surtout pour ce qui concerne la rĂ©colte, la conservation des dattes et la greffe des arbres fruitiers. Elevage : Seuls des nomades, peu nombreux du reste possĂšdent des caprins, ovins, et quelques chameaux qui pĂąturent entre RhĂ©ris et Ksar-es Souk. Les ksouriens en ont peu qui vivent Ă  l’intĂ©rieur des ksours. Par contre, ils ont d’assez nombreux bovins nourris de luzerne et qui pĂąturent le jour dans l’ »Agoudal ». Il y a peu de volailles et quelques lapins d’une race dĂ©gĂ©nĂ©rĂ©e. Les luzerniĂšres sont abondantes et permettent une dizaine de coupes par an si elles sont suffisamment arrosĂ©es. Industrie : Elle est pratiquement inexistante. A signaler seulement quelques potiers peu Ă©voluĂ©s, quelques forgerons et charbonniers (Mmo et Idelsen). Le sous-sol est encore peu explorĂ©. On y trouve du plomb (Tizi-Oumzour), du gypse Ă  plĂątre et de la pierre Ă  bĂątir de qualitĂ© mĂ©diocre. Il n’y a pas de source minĂ©ralisĂ©e. Voir suite
 
le 29/12/2013 à 18:20

Voici comment l'Autorité coloniale a trouvé l'économie du Moyen Ghériss aprÚs la soumission. Presqu' inexistante aprÚs tant d'années d'anarchie,de guerres et de Siba. Vie sociale et économique du Moyen Rhéris aprÚs la soumission(1)
Le district du RhĂ©ris relĂšve d’un tribunal coutumier de 5 membres titulaires et de 3 membres supplĂ©ants siĂ©geant au bureau de Goulmima. Le district de Tadighoust, de l’Amssed et d’Idelsen relĂšve aussi d’un tribunal coutumier de 5 membres titulaires et de 2 membres supplĂ©ants siĂ©geant au bureau de Tadighoust. Le district de Tilouine, ayant rĂ©clamĂ© le Chraa, relĂšve lui du cadi de Ksar-es Souk. Le rĂ©gime de la propriĂ©tĂ© est entiĂšrement du type privĂ©. Toutes les terres cultivables ont toujours eu leurs propriĂ©taires. L’anarchie, les luttes intestines et les rĂ©centes conquĂȘtes ont profondĂ©ment affaibli l’économie du pays. La soumission, elle aussi, l’a beaucoup modifiĂ©e. L’ùre du fusil et de l’anarchie Ă©tant rĂ©volue, il faut, ou se rĂ©soudre Ă  la misĂšre ou travailler. Agriculture : Elle est trĂšs importante. 70626 palmiers donnent une rĂ©colte moyenne mensuelle d’environ 16 mille quintaux de dattes de qualitĂ©s trĂšs diverses. Celles-ci constituent avec le grain la base de l’alimentation. Malheureusement et particuliĂšrement, dans l’Amssed et Tadighoust, la maladie dite « Bayoud » a fait des ravages considĂ©rables.
 
le 07/12/2013 à 22:00

Ssi Ali bonsoir tout d'abord je voudrais revenir sur le sujet de la langue arabe pour vous dire que je ne la défends pas .je suis de votre avis.mais j'aimerais seulement dire que la décadence ou la chute de notre enseignement est due à : plusieurs causes; je cite à titre d'exemple:
l'arabisation plutÎt à la traduction intégrale des matiÚres scientifiques le niveau faible( en matiÚre)de plusieurs enseignants actuellement recrutés. les programmes classiques,longs et qui ne répondent plus aux exigences de la vie moderne, à savoir la mondialisation, l'informatisation et les progrÚs scientifiques que connaissent tous les secteurs.
.les méthodes traditionnelles et classiques qui rÚgnent toujours dans nos écoles la corruption,la tricherie,le copiage les chùtiments corporels et moraux .l'infrastructure trÚs faible des établissements scolaires, les classes à cours multiples surtout dans l'enseignement primaire et en particulier dans le monde rural .
la société qui ne voit dans l'enseignement public qu'une perte d'argent.......
VoilĂ  pourquoi j'ai dit qu'il ne faut pas accuser la langue arabe seule.

RĂ©ponse d'Ali Ouidani : MĂȘme s'il faut accuser, il serait injuste d'accuser la langue arabe. les vrais coupables sont ceux qui au lieu de faire de cette langue un moyen veulent en faire une finalitĂ©.
 
le 06/12/2013 à 00:10

Suite des confrĂ©ries du RhĂ©ris.Sidi Bou Yacoub est surtout frĂ©quentĂ© en raison de ses fĂȘtes annuelles « Aguedoud »ou gros marchĂ© qui se tient 15 jours avant le Ramadan. C’est un jour de fĂȘte pour tous les Ait Morrhad. Pas de Moqadem.
MĂ©daghra : cette zaouia est la plus frĂ©quentĂ©e car «sa Baraka apporte l’eau ».
Sidi Hamza : cette zaouia est plus lointaine mais elle a quelques biens immobiliers au Tadighoust, Ă  Ouaqqa de Goulmima qu’elle loue chaque annĂ©e.
Sidi Bou Youssef du DadĂšs sans influence. CitĂ©e parce qu’elle possĂšde une journĂ©e d’eau par an dans la sĂ©guia de Goulmima.
Sidi Mohand Ben Abdesadeq du Rteb chĂšre aux Ait Yahia Ou Atmane chez lesquels elle possĂšde des biens.
A citer quelques sanctuaires rĂ©putĂ©s avec des moussem : Sidi Ahmed Oul Meghenni dans le haut Assif Melloul (Aguedoud le 22 Septembre), Sidi Lhadj Amar au Todra (17 Dou lhija), Moulay M’hamed,le saint des Ait Boulemane (Ksar-es souk), Imma Hegga Ali au Tarhia (12 Rabia 1er), Imma Loho dans l’Imdrhas (10 Aout). A suivre.
 
le 06/12/2013 à 00:07

Les anciennes confrĂ©ries religieuses au RhĂ©ris : elles ont des adeptes, mais d’une ferveur assez tiĂšde. Leur influence consiste surtout, pour certaines, en la perception des revenus de leurs biens propres et de quelques ziaras.
-Quadiria : (My Abdelkader Jilali) :990 adeptes, biens insignifiants. Pas de ziaras. Moqadem :Zaid ou Hammou dit ZIZI assistĂ© de Moha N’Moha de Goulmima. CaractĂšre de charitĂ©.
-Ouazzania (My Abdallah Chérif) dont le siÚge est à Ouezzane. 691 adeptes. Elle a des biens dispersés et perçoit quelques ziaras. Moqadem : Mekki Ou Hami de Goulmima.
Derquaouia (BĂ©ni Zeroual), influente par la filiale de MĂ©daghra et la sous-filiale des Ait Sidi Lahouari. 157 adeptes. Moquadem : Brahim N’Ait Khettouch de Goulmima.
Djazoulia : branche des chadilias.268 adeptes. Moquadem : Madani Ou Larbi de Goulmlima.
-Tijania : 42 adeptes. Influence nulle.
Naciria :siĂšge Ă  Tamagroute dans le DraĂą. Elle n’a pas d’adeptes mais des biens assez importants au GhĂ©ris qui lui avaient Ă©tĂ© donnĂ©s par les Ait Atta et que les Ait Morrhad n’ont pas osĂ© prendre. N’a qu’un reprĂ©sentant qui est Bassou Ou Hsain ou Ala, ex-fonctionnaire caid du GhĂ©ris. A l’extĂ©rieur la Baraka de certaines zaouias est recherchĂ©e par certaines fractions qui leur portent lorsqu’elles ont en besoin quelques menues offrandes. Certaines zaouias possĂšdent mĂȘme des biens qui sont gĂ©rĂ©s par des moqademin .
 
le 05/12/2013 à 21:19

En rendant hommage Ă  un ex instituteur français vous avez suscitĂ© en moi une pĂ©riode de gloire de l’équipe du foot de Goulmima dirigĂ©e par M.A.Belghiti qui trouvera dans ces humbles phrases toute mon estime et tous mes hommages.En grand passionnĂ© du ballon rond, il avait tout donnĂ© et tout sacrifiĂ© pour promouvoir ce joli sport qui souffre de tous les maux depuis que les gens de sa stature ont dĂ©sertĂ© les bancs de touche.
Quoi qu'on dise de lui, quoi qu'on Ă©crive Ă  son sujet, l'on ne pourra jamais transmettre aux jeunes d'aujourd'hui qu'une infime image d'un homme intĂšgre et philanthrope soucieux de bĂątir une sociĂ©tĂ© de jeunes utiles Ă  eux-mĂȘmes et aux autres, des jeunes que le sport met Ă  l'abri de toutes les dĂ©linquances. On n'oubliera jamais, c’est sĂ»r, son grand amour pour le bled, ses dĂ©placements et ses comportements mesurĂ©s le long de la touche, comme on n'oubliera non plus son abnĂ©gation dans l'exercice de sa fonction, l’enseignement en l'occurrence, Ă  l'Ă©cole de garçons (El Fath aujourd'hui) ou il laissĂ© des empreintes indĂ©lĂ©biles, gravĂ©es Ă  jamais dans nos mĂ©moires .Il Ă©tait sĂ©rieux, modeste, respectable, aimĂ© de tous. Il le restera pour toujours.
On le croise à Goulmima ou il a préféré vivre aprÚs sa retraite bien méritée, on le voit chaque jour marcher à pied refusant tout autre moyen de transport; maniÚre à lui de nous inciter et de nous faire aimer le SPORT.
Je saisie aussi l'occasion pour saluer Lhaj Hssain Berri que j'estime énormément

RĂ©ponse d'Ali Ouidani : Que Dieu le garde et le protĂšge.
 
le 05/12/2013 à 09:04

Bonjour cher ALI
Permets-moi d'apporter un petit rectificatif relatif aux noms des joueurs de l'équipe de foot de Goulmima de la glorieuse époque.Il s'agissait des frÚres BAKZAZA ALI et MOHA et DRADI ALI OU HRO,résidant actuellement à MIDELT et originaire de TIMAZGUITE de la famille OUSSEGA.Parmi les joueurs dont je me rappelle,j'ajoute à ta liste :MM:BOUABID M'BARK,BERRAD SAID,AALA,OUZIR DRISS,Un instituteur meknassi de taille trapue qui donnait du fil à retordre aux adversaires par son omniprésence dans le terrain .
Quant à MR DUMACHEZ,j'évoque parmi ses nombreux mérites:Il était partisan et militant pour la cause de l'indépendance du Maroc,il était le premier a hisser le drapeau marocain à l'ecole de Goulmima aprÚs avoir entendu à la radio l'accord d'AIX LES BAINS.son acte a été désapprouve et sujet de querelle entre lui et les officiers des affaires indigÚnes.

RĂ©ponse d'Ali Ouidani : Merci cher Lhaj et ami. Effectivement c'Ă©taient les frĂšres Bakzaza et non Belkziz !
Les connaisseurs auront rectifiĂ© d'eux mĂȘmes
 
le 03/12/2013 à 19:23

Mr et Mme DUMARCHEZ habitÚrent à AIX EN PROVENCE dans un splendide secteur appelé CHEMIN NOIR.Avec leur disparition ce secteur est devenu vraiment noir pour tous ceux qui les connaissent et a qui j'adresse mes condoléances les plus attristées,particuliÚrement à leur fille LINE a Marrakech et à mes neveux NHASS.Lors d'une symbolique réception d'adieu,a la fin de leur mission au Maroc,initiée et organisée par feu HAMMOU TADOTet financée par plusieurs jeunes de Goulmima de l'époque,Mr DUMARCHEZ avait prononcé,en sanglotant,cette brÚve mais trÚs émotionnelle allocution:"Mes enfants je ne vous oublierai jamais et je n'oublierai jamais cette terre ou j'ai passé avec vous les meilleurs moments de ma vie,cette terre sur laquelle sont nés tous mes enfants".

RĂ©ponse d'Ali Ouidani : Un grand homme par ses actions, son amour pour Goulmima et aussi par sa taille. Feu Dumarchez fut l'arriĂšre gauche de l'Ă©quipe de foot de Goulmima Ă  laquelle participait Ă©galement Madani Lahcen (Mr Lahcen), les frĂšres Belkziz, Lahcen N'ait Ihya ou 3atmane , Daoud le gardien de but et bien d'autres encore.
 
le 03/12/2013 à 01:21

Ali bonsoir, je vais tenter de satisfaire Brahim en lui envoyant directement chaque texte intĂ©gral de mes extraits sur l'Histoire du RhĂ©riss et de Goulmima dans sa boite e-mail. Etant donnĂ©e l'importance des textes et du sujet,il est dommage qu'on ne puisse pas les insĂ©rer en entier dans une seule publication pour en faire bĂ©nĂ©ficier tous ceux que cela intĂ©resse.Comme tu le sais,la plupart des amis y ont accĂšs sur facebook.Les Ă©changes nombreux et fructueux tĂ©moignent de l'intĂ©rĂȘt que les enfants de la vallĂ©e attachent Ă  l'Histoire de leur contrĂ©e.Sur ce,attendons la publication de rĂ©flexions et d'essais personnels avec des idĂ©es bien tissĂ©es et bien synthĂ©tisĂ©es.Ainsi le calme et la sĂ©rĂ©nitĂ© rĂ©gneront sur Tamerdoult.

Réponse d'Ali Ouidani : on peut insérer l'article en entier dans la rubrique Tissoufra et faire l'annonce dans la rubrique courrier.
Sinon en attendra que tu finisse d'insérer la totalité dans Facebook et je reprends le tout dans Tissoufra pour qu'il soit à la disposition des lecteurs à chaque fois qu'ils veulent le consulter.
 
le 02/12/2013 à 21:18

SSi Ali bonsour.j'ai lu ta derniĂšre chronique (Lfila a Moulay)et Ă  ce sujet je voudrais simplement te dire que je ne suis pas d'accord ni sur la deuxiĂšme ni sur ta troisiĂšme proposition pour la raison suivante: Notre enseignement souffre de tout; il est devenu Homme malade.Alors pourquoi accuser la langue ARABE toute seule?

RĂ©ponse d'Ali Ouidani : Je n'accuse pas la langue arabe.
Je pose une simple question : pourquoi enseigner une langue qui n'est pas parlée par les marocains ?
 
le 02/12/2013 à 14:11

Bonjour Mr Ali
J'aimerais bien savoir la raison pour laquelle certains demandent à ce que les textes soient longs le moment ou Tamrdoult connait un échange fructueux dans une atmosphÚre calme et sereine.La valeur d'un texte est dans ses idées et non dans sa longueur,surtout quand il s'agit des réflexions ou des essais personnels que l'on étale sur une rubrique comme celle ci.Ayons la capacité de savourer les idées bien tissées et bien exposées dans un minimum de phrases et que Dieu préserve les yeux des lecteurs de tous les maux causés par les écrans!

Réponse d'Ali Ouidani : je pense que 1000 mots sont suffisants pour passer son messages. La rubrique Tissoura est là pour insérer des études et des textes plus long et c'est ce que je fais pour mes contes
 
le 01/12/2013 à 14:59

Bonjour Ali! Un petit mot à propos de l'article sur les accidents de la circulation suite à l'Aïd. En Europe, les vitesses sont limitées sur les routes et les autoroutes de maniÚre beaucoup plus drastique qu'au Maroc. Le parc automobile est en meilleur état, les voitures peuvent rouler beaucoup plus vite qu'au Maroc, mais la formation des conducteurs est bien meilleure et les sanctions pour les infractions sont presque toujours appliquées. En une dizaine d'années, le nombre de morts a fortement diminué et la circulation a beaucoup augmentée. Plus les voitures sont puissantes, moins il y a d'accidents... Ainsi va la vie... Jean-Louis

Réponse d'Ali Ouidani : Je n'attribue pas les causes des accidents à l'excÚs de vitesse, ni à l'état du parc autos ou du réseau routier, mais à cette contradiction d'autoriser la construction et la vente des véhicules qui dépassent les vitesses autorisées. c'est tout simplement de l'incitation à prendre le risque et surtout un moyen de piéger les conducteurs et de dresser des pv.
 
le 27/11/2013 à 00:02

Suite: Au cours du dĂ©veloppement de cette affaire une certaine animositĂ© s’est rĂ©vĂ©lĂ©e entre les gros propriĂ©taires qui en sont Ă  l’origine et le reste de la population attachĂ©e au systĂšme actuel. Le Cheikh Mohamed ben Hadj qui ne joue pas franc jeu a du subir de rudes assauts. Finalement l’ouverture d’une procĂ©dure de reconnaissance des droits d’eau a Ă©tĂ© dĂ©cidĂ©e. Cet incident risque d’avoir des consĂ©quences graves car si gain de cause est donnĂ© aux gros propriĂ©taires, c’est toute une partie de la population qui sera ruinĂ©e, car il s’agira de la classe moyenne et pauvre.... Les arabes Sebbah de Tilouine sont soumis au Chraa. Leurs affaires relĂšvent du cadi de Ksar-es-souk. Deux adouls se trouvent Ă  Tilouine. Deux tribunaux coutumiers existent pour le bureau des A.I de Goulmima : celui du GhĂ©ris qui tient sĂ©ance tous les lundis Ă  Goulmima, celui du Tadighoust, qui tient sĂ©ance tous les mercredis au Tadighoust. A suivre
 
le 27/11/2013 à 00:00

4Ăšme extrait sĂ©lectionnĂ© sur l’Histoire « coloniale » de Goulmima (1947)
Quoiqu’il en soit un candidat fut Ă©lu mais il fut dĂ©cidĂ© par la suite qu’il ne resterait en fonction qu’un an, au bout duquel la tribu serait consultĂ©e pour savoir si elle dĂ©sirait conserver un Amghar permanent ou au contraire avoir Ă  sa tĂȘte un Amghar Al Am. Cette consultation doit avoir lieu en Mars 1948. Dans l’hypothĂšse oĂč la tribu se prononcerait pour le maintien d’un Amghar permanent, Brahim N’Ait Khettouch resterait en place..... En 1946,lors de l’étude des rĂ©formes rurales,il a Ă©tĂ© dĂ©cidĂ© de remplacer, dans la mesure du possible les chioukh permanents par des chioukh Al Am choisis par la fraction. Le cas s’est produit pour la fraction Mmo(Tadighouste) et la fraction Ait Yahia ou Othman. Cependant on ne saurait du jour au lendemain licencier les chioukh permanents en place qui bien souvent ont Ă©tĂ© nos premiers partisans et sont considĂ©rĂ©s en tribu comme une Ă©manation directe de notre autoritĂ©. A Tilouine une importante question a Ă©tĂ© soulevĂ©e dans le courant de l’annĂ©e 1946 par un groupe de gros propriĂ©taires. Il s’agit de supprimer le systĂšme de rĂ©partition des eaux mis en vigueur par l’autoritĂ© de contrĂŽle en 1940, systĂšme basĂ© sur un arrosage Ă©gal de toutes les terres de culture, pour revenir Ă  l’ancienne mĂ©thode de la libre disposition par chacun des propriĂ©taires de leurs droits d’eau respectifs. A suivre
 
le 26/11/2013 à 18:24

Bonjour Ssi Ali, Bonjour chers internautes,
Permettez moi de m'intervenir en ce qui concerne notre langue Tamazight, et en particulier "Tifinagh".
Comme vous l'avez bien prĂ©cisĂ© dans votre chronique intitulĂ©e : Our n'samh, je pense comme vous, que Tamazight ne sera jamais avancĂ©e et amĂ©liorĂ©e par Tifinagh qui ne s'applique qu'au sein de l'Ă©cole primaire. Tamazight doit ĂȘtre Ă  la portĂ© de tout le monde, dans la rue, Ă  la maison ... c'est Ă  dire dans la vie entiĂšre.
L'esthĂ©tique de cette langue n'apparaĂźt pas dans les symboles que reprĂ©sentent Tifinagh. Son charme, son idĂ©al est dans le langage parlĂ©, dans la communication verbale. Ecrire un poĂšme "Tamdiazte", par exemple, ne peut influencer et atteindre son but que s'il est dit par son auteur. Je dis pour finir que Tamazight doit ĂȘtre avec nous car ça fait partie de nous, et si en vise son universalisation par l'Ă©crit, ça doit ĂȘtre par la lettre universelle qui est latine ou arabe.
Tel est mon modeste point de vue Ă  ce propos.

RĂ©ponse d'Ali Ouidani : c'est aussi mon avis !
un jour un se rendront compte de leur impardonnable erreur !
 
le 22/11/2013 à 15:09

On peut admettre que les habitants de ce secteur sont encore trĂšs Ă©loignĂ©s des concepts nationalistes. L’ex-Caid Ou Ala encouragĂ© par certains de ses amis de MeknĂšs s’est rendu Ă  Rabat avec beaucoup de tapage pour protester au Palais contre sa destitution. Revenu aprĂšs plusieurs semaines d’absence au cours desquelles il avait dĂ©pensĂ© de grosses sommes, il affirmait partout sa certitude de se voir rĂ©intĂ©grĂ© dans ses fonctions par la volontĂ© du Sultan. Ses espoirs ayant Ă©tĂ© déçus il en est rĂ©sultĂ© Ă  son Ă©gard un mouvement d’ironie qui englobe son Ă©minent soit disant protecteur
.. En ce qui concerne l’avenir, sans vouloir jouer au prophĂšte, on peut assurer que la nouvelle gĂ©nĂ©ration actuellement dans nos Ă©coles transformera l’état d’esprit. Il n’est pas douteux pour moi que nos jeunes Ă©lĂšves actuels deviendront vite les champions du nationalisme. 
.C’est lĂ  la consĂ©quence normale et qu’il faut subir de notre volontĂ© d’évolution. Il faut la regarder en face en se gardant des illusions banales : reconnaissance ou devoir vis-Ă -vis de la nation protectrice. De mĂȘme que l’influence nationaliste, l’influence du Palais est Ă  peu prĂšs nulle chez les Ait Morrhad. Traditionnellement indĂ©pendants du pouvoir central, ils n’ont actuellement qu’une notion mal dĂ©finie du rĂŽle et de la puissance de leur souverain. Celui-ci n’a par ailleurs jamais eu l’occasion de manifester son importance en pays Ait Morrhad
Le prestige de l’autoritĂ© de contrĂŽle demeure, sinon puissant qu’autrefois, du moin
 
le 22/11/2013 à 15:07

Histoire de Goulmima sous l’occupation.(Suite.)(TirĂ© du rapport de l’autoritĂ© de contrĂŽle française. 1947)
Quinze ans aprĂšs la pacification du pays, la situation politique reste parfaitement saine. ProtĂ©gĂ©e des influences extĂ©rieures par sa situation excentrique, par la barriĂšre de l’Atlas, par son climat excessif qui fait que les citadins considĂšrent le Tafilalet comme le cƓur du Sahara, la tribu Ait Morrhad demeure encore indiffĂ©rente aux mouvements d’opinion marocaine qu’ils soient d’origine communiste ou nationaliste. Vivant sur elle-mĂȘme la tribu n’a que peu de contact avec l’extĂ©rieur, si ce n’est par les commerçants qui frĂ©quentent surtout les souks de MeknĂšs, KhĂ©nifra et Azrou. Encore est-il Ă©vident que le fellah borne son univers Ă  sa fraction, voire mĂȘme Ă  son ksar et n’attache aucune importance aux rumeurs des villes qui lui sont rapportĂ©es. Comment pourrait-il en ĂȘtre autrement du reste dans un pays qui ne connait le calme que depuis 15 ans et oĂč le nombre d’illettrĂ©s est supĂ©rieur Ă  99%? 
Les Ă©vĂ©nements qui ont prĂ©cĂ©dĂ© la destitution du Caid Addi Ou Bihi de Rich ont Ă©tĂ© suivis avec intĂ©rĂȘt par quelques petits groupes du RhĂ©ris et de Tadighouste. Nos administrĂ©s Ă©taient curieux du dĂ©roulement de la lutte engagĂ©e entre le Caid Addi Ou Bihi reprĂ©sentant Ă  la fois le principe nationaliste et l’influence du Palais ,et les autoritĂ©s de contrĂŽle. Le dĂ©nouement de l’affaire a Ă©tĂ© accueilli comme une conclusion normale
.On peut admettre que les habitant
 
le 21/11/2013 à 01:58

Un petit passage d' un rapport sur Goulmima fait par les autorités locales coloniales en 1948:
AutoritĂ© de contrĂŽle:Le pays ,avant notre venue,vivait dans un grand Ă©tat d'anarchie,aucun chef n'avait rĂ©ellement rĂ©ussi Ă  s'imposer et Ă  se faire obĂ©ir au delĂ  de sa propre fraction. Deux commandements ont Ă©tĂ© crĂ©Ă©s:l'un des districts du Nord (Tadigfhouste-Amsed),l'autre englobant le RhĂ©ris et Tilouine.Le commandement du Bas-RhĂ©ris et de Tilouine a Ă©tĂ© confiĂ© Ă  notre arrivĂ©e Ă  Bassou Ou Hsain Ou Alla ,des Ait Boulemane de Goulmima.Ce dernier d'intelligence bornĂ©e avait le seul mĂ©rite de s'ĂȘtre ralliĂ© dĂšs la premiĂšre heure et d'avoir facilitĂ© notre arrivĂ©e Ă  Goulmima.DestituĂ© en 1947 pour malversations il a Ă©tĂ© remplacĂ© par un Amghar El Am Ă©lu au suffrage universel. Au Tadighouste,le fonctionnaire Caid Hro Ou Hadjar a remplacĂ© en 1940 le fonctionnaire Caid Bassou Ou Ali destituĂ© pour malversations.
Pour le remplacement immĂ©diat du Caid Ou Ala,trois candidats choisis par l'autoritĂ© de contrĂŽle furent proposĂ©s au choix de la tribu.Une Ă©lection au suffrage universel de tous les hommes adultes mit Brahim N'Ait Khettouch Ă  la tĂȘte de la tribu.....Les voix des Arabes Sebbah de Tilouine ont dĂ©cidĂ© en dernier ressort du choix de l'Amghar de la tribu berbĂšre des Ait Morrhad. A suivre.
 
le 17/11/2013 à 21:42

Nombreux sont ceux qui ont marchĂ© sur le chemin de la vie sans laisser de trace; nombreux sont ceux qui ont fait fortune et sont arrivĂ©s Ă  rĂ©aliser tous leurs rĂȘves grĂąces aux sommes colossales acquises d'une maniĂšre ou d'une autre; cependant rares sont ceux qui ont pu laisser leurs empreintes sur leur chemin et sont entrĂ©s dans l'histoire par son grand portail. Ceux lĂ  qui ont fait beaucoup de choses pour leurs pays et ont rendu de grands services Ă  l'humanitĂ© toute entiĂšre dans tous les domaines tout en participant par leur pensĂ© et par leurs efforts dans la construction d'un monde nouveau.Les noms de ces derniers resteront sĂ»rement gravĂ©s dans les mĂ©moires des gĂ©nĂ©rations actuelles et de celles du futur. Comment ont-ils fait alors pour retrouver le chemin vers la cime?
Souvent ,on entend dire que la majorité des génies du monde et de ses surdoués appartient à la classe pauvre.Des statistiques faites sur 900 hommes célébres par leur grand et dur travail pour un avenir meilleur et une vie aisée de tout etre humain sans exception a révélé ceci:300 d'entre eux ont commencé leur vie dans la terre,en effet ils étaient des fils d'agriculteurs, 200 étaient des vendeurs errants de journaux, 200 autres étaient au départ des envoyés chargés de porter des feuilles de papier d'un bureau à l'autre, 100 autres ont commencé leur vie comme petits ouvriers dans des entreprises et 50 restant ont fait des travaux forcés dans les rues et les boulevards.Donc 50 seulement appartenaien

RĂ©ponse d'Ali Ouidani : N'est riche et aisĂ© que celui qui l'est dans sa tĂȘte et dans son esprit et non par sa poche !
L'altruiste est celui qui fait du bien sans attendre une quelconque contrepartie pour lui-mĂȘme.
Ci-aprÚs une petite histoire qui m'est arrivée et qui va dans le sens de ton écrit.
AprÚs m'avoir présenté en tant que responsable au personnel de mon nouveau département, le grand boss m'accompagne dans mon bureau et tout en m'invitant à m'assoir dans mon fauteuil, il me dit: pense à ce que diront tes collaborateurs et tes patrons lorsque tu quittera ce fauteuil; car un jour tu seras appelé à le quitter !
 
le 15/11/2013 à 18:11

Dans une sociĂ©tĂ©, un Etat idĂ©al doit disposer d'une puissance publique qui lui permette d'assurer la protection des personnes, des richesses naturelles et, le bien fondamental, la libertĂ© des hommes et des femmes, donc de ses administrĂ©s. La survie et la recherche de plus de confort pousse les hommes et des femmes Ă  trouver des ruses, des idĂ©es et des techniques pour amĂ©liorer leurs situations. Etat, les pouvoirs publics, orientent et contrĂŽlent ces nouveautĂ©s, ce qui Ă©vite les conflits d'intĂ©rĂȘts. A Goulmima, l'Etat se moque Ă©perdument de l'intĂ©rĂȘt gĂ©nĂ©ral et, de plus, il avorte les actions et les initiatives des hommes et des femmes qui veulent travailler et s'en sortir. Des projets viables, crĂ©ateurs d'emplois et portĂ©s par des jeunes volontaires, sont bloquĂ©s. L'eau de la sĂ©guia, la richesse de tous et de toute la rĂ©gion, est devenue, et les pouvoirs publics sont responsables, un Ă©gout: La sĂ©guia est une poubelle qui charrie des eaux usĂ©es, des dĂ©jections...Les responsables de ces dĂ©jections et les hommes et les femmes qui dĂ©truisent, gaspillent l'eau sont connus et signalĂ©s par les autoritĂ©s tribales aux pouvoirs publics. "Ces assassins", qui dĂ©molissent une oasis en dĂ©truisant l'eau, donc la vie, ne sont nullement inquiĂ©tĂ©s, c'est au contraire les autoritĂ©s tribales qui sont poursuivies, ho! Comble de la dĂ©rision, pour abus de pouvoir.

Réponse d'Ali Ouidani : En témoignent les battons dans les roues pour la construction d'une. Laverie communale que l'Association Arraw N'Ghriss était sur le pont de réaliser.
Le comble c'est que les habitants des localités avoisinantes auxquelles leur tas lite a interdit de laver leur linge dans leurs séguias viennent le faire sans soucis dans la séguia du ksar.
Plus grave encore les habitants du ksar qui voient devant leur yeux ce ''monkar'' passent leur chemin sans réagir !
Une honte !
   
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